Vendredi
J'avais prévu d'arriver avant midi, mais les conditions de circulation du aux conditions climatiques, m'ont un peu retarder, et finalement Thierry était arrivé un peu avant moi. Je le retrouvais dans le hall média pour aller chercher mon chasuble si longtemps désiré.
Mais en arrivant dans le hall média, une surprise nous attendait : une magnifique Porsche 956 aux couleurs de Canon : 956-106
Elle a un joli palmarès, plusieurs podiums entre 1983 et 1986, en Interséries et championnat du Monde, vainqueur aux 1000 km de Brands Hatch 1984. Elle fût championne du Monde en 1986 mais sous d'autres livrées(Jagermeister, FATurbo, Fortuna et Memorex), mais la livrée Canon est quand même la plus désirable. Elle était à vendre, j'espère que son nouveau propriétaire la fera participer aux courses du group C, pour que l'on puisse la voir sur piste.
Mais en arrivant dans le hall média, une surprise nous attendait : une magnifique Porsche 956 aux couleurs de Canon : 956-106
Elle a un joli palmarès, plusieurs podiums entre 1983 et 1986, en Interséries et championnat du Monde, vainqueur aux 1000 km de Brands Hatch 1984. Elle fût championne du Monde en 1986 mais sous d'autres livrées(Jagermeister, FATurbo, Fortuna et Memorex), mais la livrée Canon est quand même la plus désirable. Elle était à vendre, j'espère que son nouveau propriétaire la fera participer aux courses du group C, pour que l'on puisse la voir sur piste.
Nous décidons de faire un tour du paddock du Trofeo Nastro Rosso, avant de nous diriger vers la Pit Lane, cette année nous avons la chance de voir une 330 GTO courir les Dix Mille Tours, le breadvan est encore là cette année et nous avons la chance d'avoir deux 250 LM
La 250 LM #5907 a notamment remporté les 12H de Reims. La 250 GT SWB #2819GT finira seconde du Tour de France 1961 et sera recarrossée en Breadvan par Drogo en 1962.
Les voitures du Heritage Touring Club, attendent tranquillement, pendant qu'une cobra se fait chouchouter en attendant les qualifs du sixtie's endurance
Nous continuons de remonter la Pit Lane vers les paddocks du Groupe C
esAprès les paddocks, direction la piste. Malheureusement le vendredi, il n'y avait pas de navette média faisant le tour du circuit, et nous n'avons pas eu le reflex de demander un passe VS pour nos voitures, donc nous avons décidé de nous diriger vers le coté intèrieur de la fin de la ligne droite du mistral ainsi que la courbe du Beausset.
La pluie a repris de plus belle. Le Groupe C va entrer en piste pour les premiers essais, Nicolas Lapierre, photographe pour Mustang et Shelby magazine, nous rejoint. On connaissait déjà Nicolas par Facebook, puisqu'il est membre du groupe que l'on avait fondé avec Fred.
En tant qu'habitué du circuit, il nous conseille certains points de vue, et certains angles de prise de vue.
Maintenant la piste commence à être détrempée, lorsque les premières voiture du groupe C arrivent, l'effet est immédiat!
La pluie a repris de plus belle. Le Groupe C va entrer en piste pour les premiers essais, Nicolas Lapierre, photographe pour Mustang et Shelby magazine, nous rejoint. On connaissait déjà Nicolas par Facebook, puisqu'il est membre du groupe que l'on avait fondé avec Fred.
En tant qu'habitué du circuit, il nous conseille certains points de vue, et certains angles de prise de vue.
Maintenant la piste commence à être détrempée, lorsque les premières voiture du groupe C arrivent, l'effet est immédiat!
C'est au tour du plateau CER 1 d'entrer en piste.
#1024 est une Ferrari 512S convertie en M sans avoir courru, elle n'a pas eu une carière transcendante, quelques places d'honneur et une victoire dans la course de côte Malegno-Borno. Elle arbore les couleurs de la scudéria Filipinetti bien qu'elle courru que sous les couleurs de la Scudéria Brescia Corse ou des propriétaires privés, mais ces couleurs lui vont à ravir.
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En 1963, Eric Broadley crée la Lola Mk 6GT, un coupé très moderne à moteur central arrière et structure monocoque, qui servira de base au projet GT40 de Ford.
Après avoir repris son indépendance de Ford, il construit une série de barquette développée en collaboration avec John Surtees. La Lola T70 est construite autour d'un chassis monocoque avec une carrosserie en fibre synthétique. Les propriétaires avaient le choix entre deux motorisations : V8 Ford de 4,7L ou V8 Chevrolet de 5,3L à plus de 6L.
En 1966, Lola présente la Lola T70 MkII avec un chassis monocoque en aluminium et remporte le championnat Britannique et le premier chanpionnat CAN-AM.
Grâce à son expèrience, Lola développe une version prototype pour le championnat du monde de voitures de sport et les courses anglaises, puisque les règlements de ces deux championnats étaient identiques désormais. La MkIII reprend le chassis monocoque, mais la voiture officielle est équipée d'un moteur Aston Martin V8 de 5L de cylindrée développant de 420 à 430 chevaux, mais il était peu fiable au final, donc Surtees changea les Blocs Aston Martin par des moteurs Chevrolet, mais la fiabilité ne suivra pas non plus. Le manque d'argent empêcha le développement et les test plus poussés, ce qui couta une belle carrière à cette Lola T70 MkIII, qui auraient pu rivaliser les Ferrari 330 P4 et412P, Ford GT40, et les différentes Porsche.
Après avoir repris son indépendance de Ford, il construit une série de barquette développée en collaboration avec John Surtees. La Lola T70 est construite autour d'un chassis monocoque avec une carrosserie en fibre synthétique. Les propriétaires avaient le choix entre deux motorisations : V8 Ford de 4,7L ou V8 Chevrolet de 5,3L à plus de 6L.
En 1966, Lola présente la Lola T70 MkII avec un chassis monocoque en aluminium et remporte le championnat Britannique et le premier chanpionnat CAN-AM.
Grâce à son expèrience, Lola développe une version prototype pour le championnat du monde de voitures de sport et les courses anglaises, puisque les règlements de ces deux championnats étaient identiques désormais. La MkIII reprend le chassis monocoque, mais la voiture officielle est équipée d'un moteur Aston Martin V8 de 5L de cylindrée développant de 420 à 430 chevaux, mais il était peu fiable au final, donc Surtees changea les Blocs Aston Martin par des moteurs Chevrolet, mais la fiabilité ne suivra pas non plus. Le manque d'argent empêcha le développement et les test plus poussés, ce qui couta une belle carrière à cette Lola T70 MkIII, qui auraient pu rivaliser les Ferrari 330 P4 et412P, Ford GT40, et les différentes Porsche.
Les plateaux s'arrêtent pour laisser la place aux VIP Ferrari, le temps d'une session, nous décidons de faire un tour des paddocks.
Les sixtie's endurance commencent à se mettre en pré grille.
Nous retournons vers la Pit-Lane, pendant que les sixtie's font leurs qualifs, on a décidé de faire les photos piste de ce plateau pendant la course du lendemain soir qui devrait durer 2 heures, ce qui nous laissera suffisamment de temps pour changer de spot et donc avoir des angles différents, avec la lumière du soir qui peut être sympa, en tout cas plus que celui d'aujourd'hui.
On va se consacrer à la Pit-Lane, ce que l'on a pas trop l'habitude d'exploiter, mais qui donne de belles ambiance, surtout qu'aujourd'hui il n'y a pas trop de monde sur celle-ci.
On va se consacrer à la Pit-Lane, ce que l'on a pas trop l'habitude d'exploiter, mais qui donne de belles ambiance, surtout qu'aujourd'hui il n'y a pas trop de monde sur celle-ci.
c'est au tour de mon plateau préféré d'entrer en piste : Le Trofeo Nastro Rosso, de belles italiennes des années 60.
Cette année les plateaus sont un peu plus logiques, en effet les Ferrari ne sont pas dispersées entre le Trofeo et le sixtie's, et c'est plutôt bien pensé. Le plateau des sixtie's étant déjà assez pourvu, cela permet au trofeo de se garnir un peu plus avec de jolies pièces, en règle générale des 250 GT SWB.
Cette année les plateaus sont un peu plus logiques, en effet les Ferrari ne sont pas dispersées entre le Trofeo et le sixtie's, et c'est plutôt bien pensé. Le plateau des sixtie's étant déjà assez pourvu, cela permet au trofeo de se garnir un peu plus avec de jolies pièces, en règle générale des 250 GT SWB.
Le Trofeo Nastro Rosso a fini sa séance d'essai, place au plateau du CER 2, il risque d'y avoir des flammes avec les BMW M1 et les protos.
Tous les plateaux sont passés, nous en avons raté 3, nous nous rattraperons demain et dimanche. Une dernière séance de club entre en piste, on les regarde et photographie en rentrant tranquillement et en discutant vers les paddocks. Super journée malgré la pluie, j'ai hâte de rentrer, malgré tout, à l'hôtel pour me réchauffer et récupérer pour attaquer la seconde partie de ce marathon.
Sur le parking presse et participants, une belle petite surprise m'attendait : une Ferrari 612 Scaglietti vert anglais, superbe.